Eclairage public : la lumière nous est rendue !

Enfin !


Franck Martin

Bravo à tous ceux qui se sont mobilisés pour défendre la qualité de vie et l'attractivité de Louviers.
Que tous les amis d'Olivier Taconet et les fans de Diego Ortega soient félicités pour ce retour à la normale.


Oui aux économies d'énergie !

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Bien entendu, il faut faire des économies sur le budget éclairage public. Mais seule la paresse et l'incompétence des élus peuvent imaginer qu'il suffit pour cela de priver la ville de lumière en se contentant de couper le courant...
Une fois de plus, on voit que c'était mieux avant...

Car auparavant, peu avant les élections, les services techniques avaient piloté une longue et coûteuse étude visant à faire des économies d'énergie dans le secteur de l'éclairage public. Restait seulement à la mettre en application. Le sectarisme de Priollaud, qui considère qu'avant son règne, tout était nul, a fait mettre cette étude à la poubelle, comme tous les dossiers en cours de réalisation avant son arrivée...

Vous avez dit gaspillage ?

Non à un Louviers rural !

Une nouvelle fois, Priollaud a montré qu'il ne connait pas la ville qu'il dirige et qu'à ses yeux de Parisien, Louviers n'est qu'un village de province. Pour faire des économies, supprimer l'éclairage public peut-être la seule solution dans les communes rurales, où il n'y a guère de vie nocturne.

C'est déjà plus discutable dans la plupart des petites communes de la CASE, où beaucoup partent au travail la nuit.
C'est complètement aberrant dans la principale ville de la CASE.

Louviers à une vie nocturne : bars, restaurants, cinéma, théâtre, dîners en ville... Louviers connait la petite délinquance de nuit : feux de poubelle, vols de voitures, etc... De nombreux ménages vivent en horaire décalés : travail posté. Pour ces ménages, nous avions même construit la crèche Cascadine, où les enfants sont déposés la nuit.

En ville, supprimer l'éclairage public est une bêtise. Aucune ville d'ailleurs ne s'y risque. Imagine-t-on Paris sans éclairage public.


Franck Martin