Autres articles
Cliquer ici pour visionner l'excellent reportage de France 3 Normandie. Voir aussi le reportage vidéo du service communication de l'agglomération Seine Eure, ci-dessous.
Biotropica fait désormais partie du paysage de l’agglomération. La magnifique serre zoologique qui surplombe le Lac des deux amants, ouvrira ses portes au grand public vendredi 7 septembre. Thierry Jardin, également propriétaire du zoo de Cerza, a investi près de 7 millions sur notre territoire. Alors que le tourisme est un atout majeur de l'économie en France, l'évolution sensible de la consommation de produits touristiques nous offre l'occasion d'en faire un facteur clé de l'économie régionale et locale.
Alimentée par le secteur primaire l'économie moderne, doit marcher sur deux jambes, secondaire et tertiaire. Or, parce qu'elle a une jambe plus courte que l'autre, notre économie locale boite depuis trop longtemps. Vous le savez bien, l'Eure est un département industriel, le sixième ou le septième en France. Après le textile et le cuir, l'industrie pétrolière et l'automobile ont fait la richesse de notre territoire. Cette médaille a son revers, car l'économie moderne est de plus en plus dominée par les échanges immatériels et les services plutôt que par la production
industrielle. Et lorsque l'industrie se grippe, notre vallée de Seine tousse du Havre à Vernon.
La Région, à juste titre, affiche une belle ambition de réindustrialisation de notre tissu économique, orientée vers l'industrie de demain, illustrée par les 4 pôles de compétitivité présents en Région, en mettant tout particulièrement les industries d'avenir tournées vers les énergies nouvelles.
L’Agglo soutient cette orientation et c'est pourquoi elle souhaite élargir son territoire pour devenir un acteur à part entière de la création d'un port fluvial, puis d'une plateforme multi modale à Alizay. Une infrastructure qui doit apporter, emplois, valeur ajoutée, sous-traitance et surtout servir de socle à la réindustrialisation du site de M. Real.
Mais à côté de la nécessaire réindustrialisation, notre développement économique passe aussi par le développement du secteur tertiaire et bien entendu, du tourisme.
Il est fréquent de comparer la vitalité d'une économie à son industrie lourde : production d'acier, de locomotives. Cette habitude perdure et fait de l'ombre au tourisme dont certains sous-estiment encore l'importance actuelle et le potentiel.
Non, le tourisme n'est plus un facteur économique négligeable, tant par son chiffre d'affaires que par le nombre et, j'insiste sur ce point, la qualité des emplois créés. Car la demande se porte vers des propositions touristiques de plus en plus diversifiée, de plus en plus qualifiées, de plus en plus originales.
La Normandie est la 8ème destination des français et l’économie liée au tourisme représente 4% des emplois de notre région. Entre 2008 et 2010, 1 137 millions d’euros ont été investis dans ce secteur dont 9% dans des équipements. Ces chiffres montrent qu’il ne faut pas négliger l’importance actuelle et le potentiel de l’industrie du tourisme.
Je crois, dur comme fer, aux retombées positives de Biotropica, car la serre s'inscrit concrètement dans les perspectives de développement sur lesquelles les élus s'accordent et travaillent. 200 000 visiteurs attendus, c'est au moins un million de personnes qui connaitront l'offre touristique existante. Mais ce sont autant de clients potentiels pour développer une offre
diversifiée de produits touristiques autour du fleuve et de cet espace qu’est la base de Loisirs.
Comment ne pas croire au développement de l'habitat de loisir sous forme de maisons flottantes ? Comment ne pas croire au développement d'une offre de promenades fluviales à la demi-journée, permettant la découverte de l'histoire du fleuve et de ses richesses naturelles ?
Comment ne pas croire, alors que Biotropica a choisi ce territoire parce qu'il est facilement accessible de Paris, de Rouen et bientôt, du Nord de la France que la création d'un port de plaisance sur la Seine, avec les commerces et les services associés est possible ?
Les créateurs de Biotropica apportent ce dont notre pays, qui bat tous les records mondiaux de pessimisme a tant besoin : la volonté d’agir, la confiance en notre pays et ses capacités à rebondir, l’optimisme lucide des créateurs d’entreprises.
A l’heure où l’avenir de Cinram à Louviers s’assombrit, Biotropica apporte ce dont nous avons résolument besoin : de l’espoir.
Biotropica fait désormais partie du paysage de l’agglomération. La magnifique serre zoologique qui surplombe le Lac des deux amants, ouvrira ses portes au grand public vendredi 7 septembre. Thierry Jardin, également propriétaire du zoo de Cerza, a investi près de 7 millions sur notre territoire. Alors que le tourisme est un atout majeur de l'économie en France, l'évolution sensible de la consommation de produits touristiques nous offre l'occasion d'en faire un facteur clé de l'économie régionale et locale.
Alimentée par le secteur primaire l'économie moderne, doit marcher sur deux jambes, secondaire et tertiaire. Or, parce qu'elle a une jambe plus courte que l'autre, notre économie locale boite depuis trop longtemps. Vous le savez bien, l'Eure est un département industriel, le sixième ou le septième en France. Après le textile et le cuir, l'industrie pétrolière et l'automobile ont fait la richesse de notre territoire. Cette médaille a son revers, car l'économie moderne est de plus en plus dominée par les échanges immatériels et les services plutôt que par la production
industrielle. Et lorsque l'industrie se grippe, notre vallée de Seine tousse du Havre à Vernon.
La Région, à juste titre, affiche une belle ambition de réindustrialisation de notre tissu économique, orientée vers l'industrie de demain, illustrée par les 4 pôles de compétitivité présents en Région, en mettant tout particulièrement les industries d'avenir tournées vers les énergies nouvelles.
L’Agglo soutient cette orientation et c'est pourquoi elle souhaite élargir son territoire pour devenir un acteur à part entière de la création d'un port fluvial, puis d'une plateforme multi modale à Alizay. Une infrastructure qui doit apporter, emplois, valeur ajoutée, sous-traitance et surtout servir de socle à la réindustrialisation du site de M. Real.
Mais à côté de la nécessaire réindustrialisation, notre développement économique passe aussi par le développement du secteur tertiaire et bien entendu, du tourisme.
Il est fréquent de comparer la vitalité d'une économie à son industrie lourde : production d'acier, de locomotives. Cette habitude perdure et fait de l'ombre au tourisme dont certains sous-estiment encore l'importance actuelle et le potentiel.
Non, le tourisme n'est plus un facteur économique négligeable, tant par son chiffre d'affaires que par le nombre et, j'insiste sur ce point, la qualité des emplois créés. Car la demande se porte vers des propositions touristiques de plus en plus diversifiée, de plus en plus qualifiées, de plus en plus originales.
La Normandie est la 8ème destination des français et l’économie liée au tourisme représente 4% des emplois de notre région. Entre 2008 et 2010, 1 137 millions d’euros ont été investis dans ce secteur dont 9% dans des équipements. Ces chiffres montrent qu’il ne faut pas négliger l’importance actuelle et le potentiel de l’industrie du tourisme.
Je crois, dur comme fer, aux retombées positives de Biotropica, car la serre s'inscrit concrètement dans les perspectives de développement sur lesquelles les élus s'accordent et travaillent. 200 000 visiteurs attendus, c'est au moins un million de personnes qui connaitront l'offre touristique existante. Mais ce sont autant de clients potentiels pour développer une offre
diversifiée de produits touristiques autour du fleuve et de cet espace qu’est la base de Loisirs.
Comment ne pas croire au développement de l'habitat de loisir sous forme de maisons flottantes ? Comment ne pas croire au développement d'une offre de promenades fluviales à la demi-journée, permettant la découverte de l'histoire du fleuve et de ses richesses naturelles ?
Comment ne pas croire, alors que Biotropica a choisi ce territoire parce qu'il est facilement accessible de Paris, de Rouen et bientôt, du Nord de la France que la création d'un port de plaisance sur la Seine, avec les commerces et les services associés est possible ?
Les créateurs de Biotropica apportent ce dont notre pays, qui bat tous les records mondiaux de pessimisme a tant besoin : la volonté d’agir, la confiance en notre pays et ses capacités à rebondir, l’optimisme lucide des créateurs d’entreprises.
A l’heure où l’avenir de Cinram à Louviers s’assombrit, Biotropica apporte ce dont nous avons résolument besoin : de l’espoir.