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Une vague d'émotion à l'Assemblée nationale, ce mardi : ceux qui ont croisé son chemin, tragiquement interrompu, ne l'ont jamais oublié. En présence de nombreux ministres - et du premier d'entre eux, Jean Marc Ayrault - de deux présidents de l'Assemblée nationale - Laurent Fabius et Claude Bartolone - mon ami Alain Tourret, député du Calvados, a ouvert la première séquence d'un colloque consacré à Michel Crépeau, ministre, grand parlementaire, maire de La Rochelle, fondateur du Parti Radical de Gauche.
On comptait à la tribune et dans l'assistance Christiane Taubira, Garde des Sceaux, Jean-Vincent Placé, sénateur EELV, une foule d'amis rochelais et bien entendu, le président du Parti radical de Gauche, le sénateur Jean-Michel Baylet, flanqué de Roger-Gérard Schwartzenberg, président du groupe radical de gauche à l'Assemblée nationale.
Personnalité hors du commun, visionnaire et rebelle, premier élu écologiste de France, Michel Crépeau est mort en scène, comme Molière, dans les travées de l'Assemblée nationale. Il laisse le souvenir chaleureux et fraternel d'un humaniste engagé, épris de liberté. Je reste sous l'influence du modèle impérissable d'un «maire bâtisseur» qui a transformé et modernisé La Rochelle. Jean Michel Baylet, dans un discours vibrant d'émotion et scintillant d'intelligence a exprimé le chagrin et la fierté de tous les radicaux à l'égard du politique incomparable et de l'ami disparu.
On comptait à la tribune et dans l'assistance Christiane Taubira, Garde des Sceaux, Jean-Vincent Placé, sénateur EELV, une foule d'amis rochelais et bien entendu, le président du Parti radical de Gauche, le sénateur Jean-Michel Baylet, flanqué de Roger-Gérard Schwartzenberg, président du groupe radical de gauche à l'Assemblée nationale.
Personnalité hors du commun, visionnaire et rebelle, premier élu écologiste de France, Michel Crépeau est mort en scène, comme Molière, dans les travées de l'Assemblée nationale. Il laisse le souvenir chaleureux et fraternel d'un humaniste engagé, épris de liberté. Je reste sous l'influence du modèle impérissable d'un «maire bâtisseur» qui a transformé et modernisé La Rochelle. Jean Michel Baylet, dans un discours vibrant d'émotion et scintillant d'intelligence a exprimé le chagrin et la fierté de tous les radicaux à l'égard du politique incomparable et de l'ami disparu.