U Tour de France, ma per chì fà ? Giovellina
Pour accueillir un départ d'étape ou une arrivée du Tour de France, les villes doivent payer le groupe Amaury Sport Organisation , organisateur de la Grande Boucle. Dix pour cent des recettes d'Amaury sport organisation sur le Tour proviennent des villes étapes.
Il faut compter environ 50.000 € pour accueillir un départ d'étape, 90.000 € pour une arrivée et de 130.000 € à 150.000 € pour être à la fois ville d'arrivée et de départ. Chaque année, plus de 250 communes postulent pour accueillir le Tour. A cette somme, il faut bien évidement ajouter des frais de voirie, de décoration ou encore de sécurité. En effet, les villes d’étape du Tour doivent effectuer des aménagements et entretenir l’infrastructure routière et les parkings d’étapes, mais également fournir des barrières pour les deux derniers kilomètres de la course et mettre des locaux à disposition. Enfin, ce sont les collectivités qui doivent s’occuper de nettoyer les lieux après le passage de la Caravane du Tour. En 2011, Besançon avait déboursé 400.000 €. Pour être une ville de Grand Départ, il faut même débourser entre 2 et 10 millions d’euros. En 2007, pour accueillir le Grand Départ du Tour de France, Londres avait payé 10 millions d’euros. À partir d’un cahier des charges très dense, la municipalité est dans l'obligation de réaliser des travaux. Elle doit aménager la signalisation routière, procéder à la réfection et au nettoyage des chaussées, mobiliser des équipes municipales pour poser plusieurs kilomètres de barrières de sécurité ou encore mettre à disposition des locaux suffisamment spacieux pour installer une salle de presse pouvant accueillir 450 journalistes de presse écrite. De plus elle doit mobiliser les forces de l'ordre qui participent au bon déroulement de l'épreuve. Certaines artères de la ville étant réservées pour l'épreuve, il faut aussi repenser la circulation. Toute cette logistique est à la charge de la commune hôte. Ce sont autant de dépenses que les plus petites villes ne peuvent pas supporter seules. Elles se tournent alors vers les conseils généraux et sollicitent l'appui de la région pour parvenir à financer l'événement. bastiacciu stortu
chje be , quandu tutti sti "sportivi " si fèrmèranu a piscia a bor'di strada , un ci sera piu bisognu di cantuneri pè dui o trè anni ....!!!
Leandri
VALLS ha dettu: "LA SIGNATURE DU PEI ET LE PASSAGE DU TOUR SONT LA PREUVE IRREFUTABLE QUE LA CORSE FAIT PARTIE INTEGRANTE DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE". Cosa vi ci vole di più? Avete da truvà torna scuse à sta scruccuneria/cumedia di u TDF?
ANTO
Avemu a esse carchi di 'retombées " cume quelle di Tchernobyl chi un so mai ghjunte qui .Ma cun tuttu issu mondu a nutrisce avemu a esse in panna di "broutche" e di "figatelle" .E i soldi messi nantu a u percorsu di u giru ,mancheranu nantu a l'altre strade chi so veri troncacolli .Un affare chi ci fera piglia appena di piu fondu .In Grenoble paganu sempre pè i ghjogui d'invernu di u 68......
livia
Avete vistu e vitture ? In più d'avè manghjatu u CoooChooonoouuuuu (le petit saucisson bien de chez nous), anù betu e micca acqua, nò nò nò ! anù ancu dà pichjà ! un lasciate micca i ziteddi a bordu di strade !
joe le lapin
Evviva u giru di francia ,tutti nant'a e strade ,site contra a tuttu ,truvate sempre scuse per u fa nunda ,ma chi populu.
LIOI NICOLAS
Savez-vous que l'impact médiatique du Tour de France en Corse nous fait perdre de l'argent sur une courte durée mais largement rattrapable l'été prochain. C'est un gain accumulable sur une longue durée; c'est une règle économique que vous oubliez.
C'est une chance d'accueillir des sportifs qui aiment ce qu'ils font, et qui rêvent de partir sur nos terres pour avoir la chance d'y découvrir la difficulté de notre terrain et la beauté de nos paysages. Alors avant de critiquer, pensez à la bonification que cet événement va apporter à l'île Scrive una risposta
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