O Corsu, u to figliolu purterà u caddie gjustizia
............ E spertere cume sempre so malfate
................. a té u seru ................. a mé a crema e u latte ""O signore ajutate i ricchi chi i poveri a si stentanu "" ! ! ! ! ! gjustizia
scusate : Signore cu un esse maiùsculu ben intesa !
in cauda venenum
FUSSI LA PURU CH'ELLI NE FESSINU UNU IN SAN DAMIANU E MINCA IN'ALTRO !!!
J G
O cauda venenum di chi San Damianu parli ? quellu di l'Ampugnani o quellu di Sarté ? i golfi un sô una priorità pe i tempi chi correnu , pe 95 passionati ci n ' hé 250 000 chi tiranu a lingua ,chi stringhjenu u currighjolu
....................Le superflu est farfelu................ Regulà u turisimu hé una neccessità ,fa 16 golfi ! ! ! hé una malfatta , una sbaccata ,una provocazione , un' arnaca .......... stu prugettu cun cio ch'ellu piatta hé : .......... in lingua venenum per chi ci piattanu a verità , ci prisentanu l'affare di manera a burlacci . U Palatinu
Cuniscendu In Cauda Venenum, pensu chì a so parola si face quì ironica (chì hè un omu saviu), è ch'ellu parla di San Damianu d'Ampugnani.
Nemancu Perride
Forse i nostri figlioli porteranu dinò e so croce ind'è sti "caddie".
Antonino Albertini
Golf: strutture pe turisti ricchi chi arricchiscono solo i ricchi . Fannu travajià pochi travajatori.. rubbano acqua a e campagne, distrugguno l'ambiente ,: speculazione e maffia.
Tuttu u mundu hè paesi.. unduve si pò arrubbà si ruba. Ma cavolo na bombula di gas quantu costa in corsica.. ??? MSN
Madame Vanina PIERI
Président de l’A.T.C. Collectivité territoriale de Corse Bd du Roi Jérôme 20000 AJACCIO Nesce, le 8 octobre 2011 Madame, La rumeur court - et elle est de plus en plus audible - que l'ATC, relayée par des acteurs locaux, a l'intention de nous imposer un golf 18 trous sur les communes de Nesce et Filicetu. Par ailleurs, j'ai lu dans la presse que vous soutiendriez des projets de golfs "écologico-agricoles". Ce qui tendrait à supposer des golfs "sans promotion immobilière". Ceci appelle plusieurs remarques : 1) Si vous prônez des éco-golfs, je me permets de vous signaler qu'il y a déjà un golf dans la vallée du Reginu, qui peut supporter une extension et qui serait amplement suffisant pour la Balagne. 2) Si l'on s'en tient à nombre d’études sur le sujet, il n'existe pas de golfs rentables SANS promotion immobilière. Et pour un golf 18 trous, le seuil de rentabilité est à 100 villas. J'ignore si vous connaissez les villages de Filicetu et Nesce, mais penser que 100 villas pourront être construites sans ravager la vallée, sans épuiser nos ressources en eau, sans détruire la biodiversité, relève au minimum de la faute grave. Je vous rappelle le proverbe africain qui dit que nous n'héritons pas la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants. Et l'intérêt que manifestent certains locaux pour ce projet n'a rien de philanthropique. Le signe "€" s'allume dans leurs yeux dès que vous en parlez. Si vous pensez une seule seconde que votre idée de golf agro-pastoral va les convaincre, vous n'avez rien compris au film. 3) Un golf 18 trous, c'est 5 000 m3 d'eau par jour, soit la consommation d'une ville de 12 000 habitants, soit la population de la Balagne en hiver. Sans compter les pesticides et autres joyeusetés. Je vous signale que le niveau du barrage de Codole est actuellement très bas, malgré les captages dans la Figarella. Et que certains agriculteurs ne peuvent pas bénéficier de cette eau parce que leurs propriétés sont situées trop haut par rapport au barrage et que "des pompes seraient trop onéreuses" (sic). Les climatologues prévoient que notre région connaîtra un climat de type andalou d'ici 2050. Ces éléments devraient nous faire penser que l'eau va devenir une denrée de luxe d'ici peu et que le golf n'est peut-être pas la meilleure idée en matière de développement cohérent. D'autant plus que la Balagne est une région un peu oubliée des gouvernants : • réseau routier secondaire moyenâgeux (alors que les « petites routes » de Balagne seraient particulièrement agréables pour les touristes et particulièrement pratiques pour les résidents), • transports en commun sinistrés, • désertification hivernale, surpopulation estivale, • nombre de résidences secondaires en croissance exponentielle pour une occupation maximale de un à deux mois dans l'année, • une seule structure culturelle (l'auditorium de Pigna), etc. Je pense donc - et je ne suis pas la seule - qu'avant de nous imposer la destruction de notre vallée pour quelques clampins qui viendront à tout casser une semaine par an, taper dans une balle, il faudrait à tout le moins améliorer la vie quotidienne des habitants résidant à l'année. Naturellement, pour prendre la mesure de la situation de la Balagne, il faudrait que vous ayez la curiosité de vous promener en Balagne pour constater de vos propres yeux tout ce qu'il y a à faire avant de construire des golfs. Car contrairement à l’opinion répandue, la Balagne ne se résume pas à la Balanina, Calvi, La Villa et La Signoria L'opinion de MM Ceccaldi et Pinelli, ou de M. Vincentelli - à ce propos, il faudrait aussi se poser des questions sur les pseudo agriculteurs qui plantent très près des oliviers car avec subvention, puis en arrachent un sur deux quand ils ont grandi pour les revendre un minimum de 500 euro l'un -, ne devrait pas suffire pour plonger tête baissée dans des projets sinon inadaptés, en tout cas loin d’être prioritaires. Je vous remercie de votre attention et vous prie d'agréer, Madame, l'expression de ma considération très inquiète. Marie-Simone NOBILI. Scrive una risposta
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