Mancu più castagne ! savurita...
u Castagnu ùn fubbe introduttu dà i Rumani.....era "indemucu".mipare.......mà incurasgitu dà i ghjenuvesi quessa si!!
savurita...
* indemicu
Anghjulu
ùn hè micca accertata quessa mi pare
si sà chi i Rumani in tutti i casi u cultivavanu U sturianu
Iè, u castagnu hè statu resu ubligatoriu da i ghjenuvesi, pà truvà un'utilità à a Corsica.
Casata
micca solu u castagnu mi pare no ? c'era d'altri arburi, ma forse mi sbagliu
stu cynips hè un vituperiu Carlinu
Quand'ellu un ci sera piu castagni, ne castagne, ne pulenda , ne pisticcine, ne altori, ne Corsi, cumu si chjamera a Corsica?
pisticcinu
si chjamerà "la keurse" o Carlinu...
ANTO
Ma e piccule vespe chi hannu da tumba u Cynips ,tumberanu ancu l'abe chi pruducenu u mélè e pullinizeghjanu e piante .Baccala pè Corsica
marcu
Si chjamera muntagna viota.
Ci vole a truva qualcosa veramente di piu fruttèvule ,cumé l'arbatabacca. bastiacciu stortu
E sta torymus sinensis ..... é Corsa ....???.....
Nuceta
A sapiate chì Parmentier avia scrittu un "Traîté de la Châtaigne" ?
Cavalieru
Cette sale bête est arrivée en Italie en 2002 elle a rejoint la Corse par la corsica ferries, sans aucun doute
Femelle I n s e c t e s 7 n ° 1 3 4 - 2 0 0 4 ( 3 ) Par Valérie Belrose . Clichés Giovanni Bosio - Service pour la protection des végétaux - Turin (Italie) Un Cynips menace la châtaigneraie à fruits Le Cynips du châtaignier (Dryocosmus kuriphilus Yasumatsu, 1951 ; Hyménoptère Cynipidé), appelé aussi Chalcide du châtaignier, est considéré au niveau mondial comme le ravageur le plus important de cette essence. Originaire de Chine, il a été introduit au Japon, en Corée, dans le Sud-Est des États-Unis, puis en Italie en 2002. Cet insecte se développe uniquement sur châtaignier. Les larves passent l’hiver dans les bourgeons et provoquent la formation de galles au printemps. Elles s’y nourrissent pendant 3 à 4 semaines, atteignent une longueur de 2 à 3 mm, puis entrent en nymphose. Les adultes apparaissent entre fin-mai et fin-juillet et la ponte commence immédiatement. Les oeufs, insérés à l’intérieur des bourgeons, éclosent au bout de 4 à 6 semaines. Les larves ne peuvent être détectées durant l’automne et l’hiver, jusqu’à la formation des galles au printemps suivant. Ces galles se forment sur les jeunes rameaux, le pétiole, voire la nervure centrale des feuilles ; elles contiennent une ou plusieurs loges et mesurent 0,5 à 2 cm de diamètre. Les attaques du Cynips provoquent une diminution de la croissance des rameaux et une baisse de la fructification (jusqu’à une perte de rendement de 50 à 70% dans la châtaigneraie à fruits). La littérature mentionne des cas de dépérissement et de mortalité liés à cet insecte. Au Japon, ce ravageur est en partie responsable de la diminution de la production de châtaignes (-50% en 20 ans). Femelle Galles du Cynips du châtaignier sur rameaux Galle sectionnée avec larves Trous de sortie sur une galle I n s e c t e s 8 n ° 1 3 4 - 2 0 0 4 ( 3 ) Il n’existe pas de méthode de lutte phytosanitaire ou sylvicole adaptée contre ce Cynips, si ce n’est d’enlever les rameaux attaqués (technique valable lorsque l’infestation est faible). En cas d’introduction dans une nouvelle zone, l’éradication paraît difficile, à moins d’une détection très précoce. Au Japon, plusieurs séries de variétés de châtaigniers résistants ont été mises au point successivement, l’insecte ayant réussi à contourner la résistance des premières. Le châtaignier européen (Castanea sativa) paraît a priori sensible. Dans la zone d’origine du Cynips, en Chine, les populations sont fortement régulées par un large cortège de parasitoïdes. Certains d’entre eux (Torymus spp.) sont utilisés au Japon dans le cadre d’une lutte biologique. Des parasitoïdes similaires se développent en Europe aux dépens du Cynips du chêne. Il est cependant peu probable qu’ils parviennent à réguler efficacement les populations de Cynips du châtaignier, en raison d’une mauvaise synchronisation probable des cycles de développement. En Europe, l’extension du foyer du Piémont italien pourrait se faire de proche en proche par le vol des femelles (qui n’ont pas besoin d’être fécondées pour pondre) ou, à plus longue distance, par le transport de plants colonisés, de boutures ou de branches coupées. L’éradication étant peu réaliste, il est probable que ce Cynips atteigne tôt ou tard le territoire français, d’autant plus que la zone italienne infestée est une des principales régions productrices de plants. Si la détection de l’insecte n’est pas aisée (les oeufs et jeunes larves ne sont pas visibles à l’oeil nu et l’insecte adulte est difficilement identifiable), l’observation des galles est le meilleur critère de diagnostic car ce Cynips semble être la seule espèce à provoquer des galles sur châtaignier. Au premier abord, les dommages (moindre croissance des rameaux, baisse de la production de châtaignes) que ce ravageur est susceptible de causer aux peuplements forestiers de châtaigniers paraissent relativement limités, en comparaison des dégâts causés par les champignons responsables du Chancre et de l’Encre. Cependant, au niveau de la châtaigneraie à fruits, l’impact de ce Cynips peut être très important économiquement. Comme les châtaigniers forestiers sont susceptibles, en cas d’infestation, de constituer des réservoirs d’inoculum vis-à-vis des vergers, la détection précoce de tout foyer en forêt est essentielle. r Cet article est initialement paru dans La Lettre du DSF, n°29, mai 2004. OEufs Larves Nymphe Une fiche illustrée de reconnaissance est disponible au Laboratoire national de la protection des végétaux (LNPV) d’entomologie, ainsi qu’auprès des échelons du Département de la santé des forêts (DSF). Toute galle suspecte peut être envoyée au LNPV, dans un colis portant la mention “attention : Cynips châtaignier suspecté” et d’où les insectes ne pourront pas sortir. Contact : LNPV entomologie ENSAM-INRA Zoologie 2, place Viala - 34060 Montpellier cedex 1 streito@ensam.inra.fr L’auteur Valérie Belrose est ingénieur spécialisée au Département de la santé des forêts et rédactrice en chef de La Lettre du DSF valerie.belrose@agriculture.gouv.fr Scrive una risposta
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