È u corsu diventò officiale ! lola
Ses dernier travaux concernaient une évolution constitutionnelle de la Corse.
Guy Carcassonne est décédé ce dimanche à l’âge de 62 ans Le constitutionnaliste Guy Carcassonne est mort ce dimanche à Saint-Petersbourg où il se trouvait en voyage en compagnie de son épouse la dessinatrice Claire Bretecher. Il était âgé de 62 ans. Cet éminent professeur de droit constitutionnel a dirigé les travaux du collège des constitutionnalistes – composé de David Capitant et Julie Benetti – consulté par l’assemblée de Corse sur les évolutions institutionnelles actuellement en débat dans l’île: nouvelle architecture des collectivités, statut de résident, transfert de la fiscalité, coofficialité de la langue corse. Son rapport préconisait notamment que la Corse obtienne le statut et les pouvoirs des territoires ultra-marins. Il devait présenter ses travaux vendredi aux groupes politiques de l’assemblée, lors d’une rencontre à Ajaccio. Espérons que les nombreuses louanges éloquentes de diverses personnalités de premier plan et aux affaires, prendrons en compte son dernier rapport sur la Corse, et ne s’arrêterons pas à la sortie de l’église, espérons que son dernier combat de juriste ne reste pas lettre morte….. Condoléances à la famille La France perds son plus grand juriste constitutionnaliste, et la Corse un ami et un homme de bonne volonté. http://www.corsematin.com/article/derniere-minute/guy-carcassonne-devait-presenter-vendredi-ses-travaux-sur-les-evolutions-ins.1005834.htm http://www.europe1.fr/France/Le-juriste-Guy-Carcassonne-est-mort-1530653/ lola
On peut faire de la poésie avec une langue qui n'existe pas (comme une traduction du petit Nicolas, ou d'Astérix en Corse !!!) Miracle ! Tous à Lourdes ou à Pancheraccia ! Une des plus belle poésie de Pampasgiolu (chantée par Petru Guelfucci, mis en musique par Paul Moracchini : U lamentu di Cursichella Cursichella sfurtunata mamma di tanti figlioli sarai prestu abandunata si qualchi rimediu ùn trovi per tene vicino a te i to frutti vecchji e novi Tutti li to figliulacci partenu a circa furtuna ùn hai più conti a facci ne menu speranza alcuna al menu che t'ùn t'adopre di a pastoghja o di a funa Si ne vanu a lu strangeru cume veri spatriati di te ùn hanu più penseru ne induv'elli so nati quelli valorosi corsi per a patria sacrificati Chi ne penserà Sampieru De Paoli o Sambucucciu videndu chi lu s'imperu hè miniciatu à di per tuttu? a ruvina hè generale e smarisce fondu e fruttu Ùn ci hè più corsi di sanna ùn ci hè che scarti di natura di la so povera mamma soca ùn hanu più primura ma la vergogna hè per elli s'ella more di malcura Facciu un ardente preghera e la mandu à a santa stella s'ellu ci fosse manera chi per avà s'hè zitella d'allunga un pocu la vita a la nostra Cursichella Qui finiscu u miò lamentu chi troppu male mi face mi scappa guasi lu pientu ne soffru e po' mi dispiace che tu campi o Cursichella 'ncu u riscantu in pace Et si Valls n'a pas de traducteur Corsophone à la DCRI, il en a pas puisque c'est une langue qui n'existe pas, voilà la traduction dans la langue de "LA REPUBLIQUE", imposé en 1539 par le grand républicain François I, dans la grande république française du XVI èmme siècle : U lamentu di Cursichella (une traduction) Petite Corse infortunée Mère de tant de fils Tu seras vite abandonnée Si tu ne trouves pas de remède Pour garder auprès de toi Tes fruits vieux et nouveaux Tous tes mauvais fils Partent faire fortune Tu n'as plus de compte à rendre Ni même une espérance A moins que tu n'adoptes Les liens ou la corde Ils partent à l'étranger Comme de vrais expatriés Ils ne pensent plus à toi Ni même où ils sont nés Ces valeureux corses Sacrifiés à la patrie Qu'en penseront Sampieru Paoli ou Sambucucciu Voyant que leur empire Est menacé de partout La ruine est générale Le capital et les fruits disparaissent Il n'y a plus de corses Il n'y a plus que des déracinés Je sais qu'ils ne se soucient pas De leur pauvre mère Mais la honte est sur eux Si elle meurt de mauvais soins Je fais une ardente prière Et je l'envoie à Sainte Stella S'il était possible Bien qu'elle fût encore une enfant D'allonger un peu la vie De notre petite Corse Ici finit ma complainte Car cela me fait trop mal Les larmes m'échappent Je souffre et cela me déplaît Tu dois vivre petite Corse L'âme en paix Mais la roue tourne, A Cursichella est toujours vivante, et Pampasgiolu sempre vivu ! http://www.youtube.com/watch?v=nnFOwRIvL3s "....che tu campi o Cursichella 'ncu u riscantu in pace....." Scrive una risposta
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