A Corsica, riserva naturale d'indiani ?
o piratella s hè tu a bella pocohantas ???
A corsica e cio qu'ellu ne hannu fattu uni pocchi, e diventara cio qu'ellu ne faccie u restu.
U travagliu si saria ind'e noi ma , bulemu esse tutti impiegati, u zapone un lu piglia piu nimu. U statu francese lampa uni pochi di soldi in tantu tantu e pensa : avale tassatevi e sterpatevi e cusi u problema e regulatu. O a me cursichella quant'eiu ti lagnu.
Un semi mica lecchi. Ci vole a pisa u capu. Si noi bassemu i braci allora si chi semu lecchi. Aghjo spartemuci chi ghje ora.
Remerciez les personnes qui remplissent nos commerces l'été et soulignez leurs efforts au lieu de manipuler les gens en leur donnant une fausse opinion de nos institutions touristiques.
Quels commerces, quels touristes ?
Ce sont les holding de l'agro-alimentaire, et leurs super marchés qui rafflent le peu d'argent que laissent ceux que vous appellez des touristes, et qui ne sont que des mendiants ,sans moyens, qui se contentent de quelques tomates sur le parking d'un geant casino.
Faites les comptes en fin de saison, et vous verez que la Corse est encore perdante, car non seulement, il n'y a aucune retombée economique mais en plus, ce sont les corses qui doivent payer pour nettoyer les "merdes" laissé par ces gens la.
Le tourisme ne profite à aucun pays pauvre, on exploite notre environnement, notre terre, on detruit notre culture, notre langue, on pollue nos rivages, nos lacs et nos riviére de façon irreversible, tout cela au profit de quelques financiers etrangers, et quelques mange merde corse qui se croient plus malins que les autres.
Chi disgrazia. Si cerca sempre a da a colpa a l'altri, semu noi i corsi, semu noi chi lasciemu fa. Allora ci bulara un ghjornu a fa "tabula rasa" senza liticche senza rancore. Pa noi, pa a corsica: curraghju e un pocu di fiertà.
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